Il a donné du bonheur à ses salariés tout en remplissant les poches de ses actionnaires.

Ce drôle de bonhomme croyait que ses ouvriers en savaient plus sur leur produit que les gens du bureau d’études.

Il croyait aussi qu’ils travailleraient mieux sans contremaître et sans contrôle-qualité.

Alors, il a supprimé les postes de ceux qui sont traditionnellement payés pour penser et n’a conservé que ceux qui mettent la main à la pâte (mais qui sont capables de penser aussi quand on ne le leur interdit pas) ; mieux, il leur a permis de trouver un épanouissement dans leur travail !

Et il a obtenu des résultats, en argent et en bonheur, qui pourraient faire pâlir d’envie nombre d’actionnaires et de salariés.

Certains y verront un retour du paternalisme, d’autres y verront sa réhabilitation après la période stérile du zéro-risque et du tout-prévoir !

En tous cas, il faut avoir vu la vidéo ci-dessous d’un patron (Jean-François Zobrist, ancien dirigeant de la FAVI à Hallencourt, dans la Somme) qui, en plus d’avoir inventé et fait réussir un management atypique, ne manque pas d’humour :

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